L'Exception part à la rencontre de ses clients. Aujourd'hui, nous rencontrons Julie Prost et Laura Podjarny, fondatrices du cabinet Impala Avocats, toutes deux clientes de L'Exception.

Laura porte le pull en cachemire et Julie le pull torsadé en laine L'Exception Paris.


Pouvez-vous vous présenter ?


Laura : Nous sommes Laura et Julie, toutes les deux 38 ans, avec quinze jours d'écart, avocates depuis 11 ans toutes les deux. On a fondé Impala Avocats qu’on a cocréé il y a six ans. On travaille dans l’écosystème de la tech, des start-ups innovantes et à impact.

Qu’est ce qui vous a amené à vous associer ?


Laura : On est amies depuis vingt ans et étions à la fac ensemble en première année de droit à Strasbourg. Nous nous sommes rendues compte que nos compétences étaient complémentaires lors de nos exercices professionnels respectifs et ai proposé à Julie de s'associer après m'être installée à mon compte il y a presque 10 ans.

Pourquoi le nom Impala Avocats ?


Laura : Après une quasi petite année de brainstorming ratée, je me suis levée un matin en écoutant Tame Impala, l'un de mes groupes préférés, et là, flash : je me suis dit, c’est Impala ! J’ai appelé Julie qui a aimé aussi, et c'est devenu notre nom. C'est également la chevrolet et l’animal, plutôt sympas.

Y a-t-il quelque chose dont vous êtes particulièrement fières dans votre parcours ?


Laura : D’être des self-made women. Partant de rien, nous avons construit par notre énergie, notre volonté et notre envie un superbe Cabinet. Ma plus grande fierté c’est d'être là où j’en suis sans un quelconque passe droit.
Julie : Nous sommes fières de nos client(e)s, de notre éthique, de nos valeurs et de notre équipe.

Dans le bureau de Laura, il y a un divan où l’on peut s'allonger. Est ce qu’un avocat, c’est aussi un psy


Laura : On est un peu des psys (rires!). Nous sommes dans la confidence, et l'aide à la stratégie dans des domaines délicats pour des dirigeants qui doivent gérer de fronts de nombreux interlocuteurs avec lesquels ils doivent masquer les problèmes.
Julie : Les décisions qu’on prend en entreprises ne sont pas toujours rationnelles, elles mêlent droit et stratégies. Les négociations sont parfois très dures psychologiquement. Il y a parfois des enjeux politiques. Ce sont d’ailleurs les dimensions les plus intéressantes du métier.

C’est quoi la recette pour faire durer un duo vingt ans ?


Laura : La communication. La tolérance.
Julie : L'admiration réciproque. La capacité à se remettre en question, et il n’y a aucun sujet tabou entre nous. On ne fait pas la politique de l’autruche.

Laura, je vois que tu as un tapis de course dans ton bureau, c’est important pour toi de faire du sport au travail ?


Laura : Oui, j’ai besoin de rester active, je fais dix km par jours. Ça me détend, ça me calme. Je fais même des battles avec mes clients, sur combien de pas on a fait dans la journée !




Parlons de votre rapport à la mode. Pour les professions libérales, on ne pense pas forcément à la mode, quel est justement votre rapport à celle-ci ?


Laura : On est une profession assez conventionnelle. J'ai mis une robe à paillette il y a quelques années à une réunion, les clients ont fait des remarques du genre : “on dirait une patineuse artistique” ! Nous sommes dans un métier d'image également, le style et la mode sont importants.
Nous pouvons toutefois nous permettre de casser cette image de l’avocat qui porte un tailleur comme dans les séries américaines, car nous sommes dans un écosystème plus "cool", celui de la tech et des start ups. On peut apporter notre touche personnelle et aimons la mode dans tout ce qu’il y a de plus heureux.
Julie : On est aussi dans une transition. Ni trop ni pas assez. Pas de tenue de sport, mais pas trop rigide. L’entre deux c’est de pouvoir se faire un vestiaire. Moi j’aime les lignes épurées, les courbes simples, ça garde une rigueur et un côté un peu sympa.

Vous êtes toutes les deux clientes chez L'Exception, vous souvenez-vous qui était la première cliente ?


Laura : C'était moi la première, j’étais fan de la boutique.
Julie : Pour moi L’Exception c’est la pièce de créateur qu’on ne trouve pas ailleurs. Ce sont des pièces choisies que j’ai trouvées chez L’Exception. J’aime bien aussi offrir des cartes cadeau à mes amies.

D’ailleurs, c’est chez L’Exception que l’histoire d’Impala a commencé ?


Julie : Avec Laura, on était restées en contact, on a pris un café à l’ancienne boutique de la Canopée des Halles. En discutant du travail, Laura m’a demandé si je voulais travailler avec elle. Une belle aventure y a démarré !

Qu’avez vous pensé des pulls L’Exception Paris, que vous portez aujourd’hui ?


Laura : Tout d’abord, c’est une collection à impact, on y est sensibles. Aussi, c’est une ligne épurée, ce sont des basiques que l’on aime avoir, et le toucher est super agréable. En plus j’adore le col roulé cachemire, c’est parfait pour moi, je peux le mettre avec tout. C’est la pièce maîtresse de mon dressing !



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